Le séisme du Chili a ralenti la rotation de la Terre
Acrerune | 4
| 3/4/2010
oui, je trouve que l'article n'est pas assez fouillé... mais c'est le seul en français que j'ai trouvé pour l'instant
traduction automatique d'un article:
http://www.elmundo.es/elmundo/2010/03/02/ciencia/1267539683.html
Dans un article publié dans «Business Week, le Laboratoire de géophysique à Pasadena, en Californie, Richard Gross, a déclaré que les tremblements de terre peuvent se déplacer des centaines de kilomètres de roche dans des espaces très confinés, qui modifie la répartition des masse sur la planète, affectant la rotation de la Terre.
Ce petit changement est enfermé "dans des changements plus importants en raison d'autres causes, telles que la masse d'air se déplaçant sur la Terre», le doyen de Géophysique, Université centrale nationale de Taïwan, Benjamin Fong Chao.
Sur la base de calculs effectués en utilisant des méthodes informatisées, la NASA a trouvé que, en raison du tremblement de terre au Chili, l'axe de la Terre s'est déplacée trois pouces et que «la longueur du jour devrait être raccourci 1,26 microsecondes (millionièmes de seconde).
Ce n'est pas la première fois que des changements similaires sont détectés après un séisme. Le jour est tombé de 6,8 micro-secondes à la fin de 2004 en raison du séisme de 9,1 degrés enregistré au large de Sumatra qui a provoqué le plus grand tsunami 'de l'histoire.
L'effet de la glace de patineur
David Kerridge, à la tête de la Commission géologique Edimburgoe UK British Geological Survey à Edimbourg, explique: «Quand un patineur monte les bras en tournant pour aller chercher plus de vitesse et plus encore. C'est la même idée: la Terre tourne et si vous changez la distribution de masse, le temps des changements de rotation.
Selon le professeur à l'Université de Liverpool Rietbrock Andreas, qui a étudié la zone où le séisme a frappé le Chili, l'île de Santa Maria, près de Concepcion (deuxième plus grande ville et l'une des plus endommagées par le tremblement de terre) aurait pu être soulevé d'environ deux mètres en raison des tremblements.
Il pourrait aussi être vrai. Selon CNN collectées, fondé sur des estimations scientifiques, si le barrage des Trois Gorges en Chine a été rempli, ajoutant 40 kilomètres cubes d'eau, produisent, en raison de leur poids, une augmentation de la durée de la journée de 0,06 microsecondes.
http://www.elmundo.es/elmundo/2010/03/02/ciencia/1267539683.html
Dans un article publié dans «Business Week, le Laboratoire de géophysique à Pasadena, en Californie, Richard Gross, a déclaré que les tremblements de terre peuvent se déplacer des centaines de kilomètres de roche dans des espaces très confinés, qui modifie la répartition des masse sur la planète, affectant la rotation de la Terre.
Ce petit changement est enfermé "dans des changements plus importants en raison d'autres causes, telles que la masse d'air se déplaçant sur la Terre», le doyen de Géophysique, Université centrale nationale de Taïwan, Benjamin Fong Chao.
Sur la base de calculs effectués en utilisant des méthodes informatisées, la NASA a trouvé que, en raison du tremblement de terre au Chili, l'axe de la Terre s'est déplacée trois pouces et que «la longueur du jour devrait être raccourci 1,26 microsecondes (millionièmes de seconde).
Ce n'est pas la première fois que des changements similaires sont détectés après un séisme. Le jour est tombé de 6,8 micro-secondes à la fin de 2004 en raison du séisme de 9,1 degrés enregistré au large de Sumatra qui a provoqué le plus grand tsunami 'de l'histoire.
L'effet de la glace de patineur
David Kerridge, à la tête de la Commission géologique Edimburgoe UK British Geological Survey à Edimbourg, explique: «Quand un patineur monte les bras en tournant pour aller chercher plus de vitesse et plus encore. C'est la même idée: la Terre tourne et si vous changez la distribution de masse, le temps des changements de rotation.
Selon le professeur à l'Université de Liverpool Rietbrock Andreas, qui a étudié la zone où le séisme a frappé le Chili, l'île de Santa Maria, près de Concepcion (deuxième plus grande ville et l'une des plus endommagées par le tremblement de terre) aurait pu être soulevé d'environ deux mètres en raison des tremblements.
Il pourrait aussi être vrai. Selon CNN collectées, fondé sur des estimations scientifiques, si le barrage des Trois Gorges en Chine a été rempli, ajoutant 40 kilomètres cubes d'eau, produisent, en raison de leur poids, une augmentation de la durée de la journée de 0,06 microsecondes.
traduction automatique ce cet article:
http://www.madrimasd.org/blogs/universo/2010/03/02/135576
Il ne faut pas paniquer. Ce n'est pas la première fois et ne seront pas les derniers, beaucoup moins. Le communiqué de presse note cela. Soit dit en passant, que ce phénomène ne se produit pas seulement après de grands séismes, et n'est pas exclusivement liées à la lithosphère terrestre sensu stricto. Par exemple, nous savons maintenant que l'effondrement des digues de glace à la fin des glaciations, provoquant des inondations énormes induits des effets similaires. Tel était le cas s'est produit dans le bassin du fleuve Columbia, ou d'autres personnes situées dans les monts Altaï en Sibérie. Dans un cas particulier, les chercheurs des États-Unis, avec d'autres en espagnol (Gerardo Benito, aujourd'hui à la CCMA, CSIC, Madrid) et les Russes, a calculé que dans quelques jours, les Etats-Unis a introduit le lit de la mer que désormais toutes les rivières se déversant dans le monde pour le lard d'un an. Apparemment, ce fait a conduit à la même phénomène d'aujourd'hui réaliser. Cependant, à cette époque, l'érosion du fleuve immense laissé une profonde empreinte sur le paysage qui persiste toujours, et j'avais pensé un jour. Ce fut donc un déplacement de l'eau (l'hydrosphère, la lithosphère pas). Je vous laisse maintenant avec ces nouvelles frappant de constater que ne devrait pas donner lieu à des préoccupations de la part des citoyens. Tout est tranquille.
texte original:
No hay porqué asustarse. No es la primera vez, ni tampoco será la última, ni mucho menos. La nota de prensa da cuenta de ello. Digamos de paso, que tal fenómeno no se produce tan solo tras terremotos de gran magnitud, ni se encuentra exclusivamente relacionado con la litosfera terrestre sensu stricto. Así, por ejemplo, hoy sabemos que el desmoronamiento de presas de hielo, al final de las glaciaciones, inducía gigantescas inundaciones que causaban efectos similares. Tal fue el caso de la acaecida en la Cuenca del Río Columbia, o de otras localizadas en los Montes de Altay en Siberia. En uno de estos casos en concreto, investigadores de Estados Unidos, junto con otros españoles (Gerardo Benito, actualmente en el CCMA, CSIC, Madrid) y rusos, calcularon que, en el plazo de muy pocos días, el cauce americano acarreó al mar que lo drenan actualmente todos los ríos del mundo a lo lardo de un año. Al parecer, tal hecho dio lugar al mismo fenómeno que del que hoy damos cuenta. Sin embargo, en aquella ocasión, la inmensa erosión fluvial dejo una profunda huella en el paisaje que aun perdura, y de la que tenía pensado hablar algún día. Por tanto se trataba de desplazamientos de agua (hidrosfera, que no litosfera). Os dejo ya con esta llamativa noticia, que no debe dar lugar a preocupación alguna por parte de los ciudadanos. Todos tranquilos.
http://www.madrimasd.org/blogs/universo/2010/03/02/135576
Il ne faut pas paniquer. Ce n'est pas la première fois et ne seront pas les derniers, beaucoup moins. Le communiqué de presse note cela. Soit dit en passant, que ce phénomène ne se produit pas seulement après de grands séismes, et n'est pas exclusivement liées à la lithosphère terrestre sensu stricto. Par exemple, nous savons maintenant que l'effondrement des digues de glace à la fin des glaciations, provoquant des inondations énormes induits des effets similaires. Tel était le cas s'est produit dans le bassin du fleuve Columbia, ou d'autres personnes situées dans les monts Altaï en Sibérie. Dans un cas particulier, les chercheurs des États-Unis, avec d'autres en espagnol (Gerardo Benito, aujourd'hui à la CCMA, CSIC, Madrid) et les Russes, a calculé que dans quelques jours, les Etats-Unis a introduit le lit de la mer que désormais toutes les rivières se déversant dans le monde pour le lard d'un an. Apparemment, ce fait a conduit à la même phénomène d'aujourd'hui réaliser. Cependant, à cette époque, l'érosion du fleuve immense laissé une profonde empreinte sur le paysage qui persiste toujours, et j'avais pensé un jour. Ce fut donc un déplacement de l'eau (l'hydrosphère, la lithosphère pas). Je vous laisse maintenant avec ces nouvelles frappant de constater que ne devrait pas donner lieu à des préoccupations de la part des citoyens. Tout est tranquille.
texte original:
No hay porqué asustarse. No es la primera vez, ni tampoco será la última, ni mucho menos. La nota de prensa da cuenta de ello. Digamos de paso, que tal fenómeno no se produce tan solo tras terremotos de gran magnitud, ni se encuentra exclusivamente relacionado con la litosfera terrestre sensu stricto. Así, por ejemplo, hoy sabemos que el desmoronamiento de presas de hielo, al final de las glaciaciones, inducía gigantescas inundaciones que causaban efectos similares. Tal fue el caso de la acaecida en la Cuenca del Río Columbia, o de otras localizadas en los Montes de Altay en Siberia. En uno de estos casos en concreto, investigadores de Estados Unidos, junto con otros españoles (Gerardo Benito, actualmente en el CCMA, CSIC, Madrid) y rusos, calcularon que, en el plazo de muy pocos días, el cauce americano acarreó al mar que lo drenan actualmente todos los ríos del mundo a lo lardo de un año. Al parecer, tal hecho dio lugar al mismo fenómeno que del que hoy damos cuenta. Sin embargo, en aquella ocasión, la inmensa erosión fluvial dejo una profunda huella en el paisaje que aun perdura, y de la que tenía pensado hablar algún día. Por tanto se trataba de desplazamientos de agua (hidrosfera, que no litosfera). Os dejo ya con esta llamativa noticia, que no debe dar lugar a preocupación alguna por parte de los ciudadanos. Todos tranquilos.
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L'info et la deuxième partie de l'article est très intéressante, elle.