PÉROU Etat d'urgence dans trois provinces du Sud-Est
Acrerune | 2
| 4/2/2010
http://yorobocarbon.com/
ce lien explique comment on organise le pillage des ressources, comment on exploite et tue des centaines d'enfants, comment est organisée la corruption et comment yorobocarbon veut lutter contre ce fléau
résumé (KNTHMH)
L'action d'organisations criminelles est une des raisons qui conservent le Pérou dans le sous-développement malgré son indépendance depuis 1821.
Au cours de ces 188 longues années, d'innombrables criminels déguisés en «autorités», «entrepreneurs», «informel» ou ce qu'il vous plait de les nommer, ont été la cause de la souffrance de millions d'hommes, de femmes et d'enfants qui maintenant se trouvent aux extrêmes limites de la pauvreté.
Des centaines d'enfants sont exploités dans les mines de La Libertad et y laissent leur peau. Ils manipulent sans aucune précaution les explosifs. Ces crimes se passent en toute impunité. Les autorité ne font rien contre ce travail de mineurs. 85 % des personnes employées dans les minent souffrent de graves détériorations physiques dues à des agents polluants., à la silicose.
La production minière est incontrôlable, les véhicules qui la transportent ne sont en mesure de donner aucun document prouvant leur activité. De grandes quantité de minerais sont dérobées.
Des exploitations illégales ne craignent pas de s'exposer au grand jour avec leur production de dizaine de milliers de tonnes de minerais illégalement extrait. Les ports de Salaverry, Chimbote et Callao, sans objection par la Direction nationale des douanes, exportent illégalement du minerais vers d'autres pays.
On empêche la police d'agir contre les voleurs et les délinquants.
La corruption éhontée des hauts fonctionnaires (gouverneursd, procureurs) couvre ce marché illégal.
Les fraudes fiscales ne se comptent plus!
Ni les disparition de preuves en faisant brûler les papiers comprométants, les blanchiments de capitaux, car la grande industrie se sert sans vergogne auprès de ces producteurs miniers mafieux.
Les terrains sont pollués par les résidus miniers, l'agriculture n'est plus possible ou alors ses produits sont toxiques.
Aucun décret régissant l'exploitation minière n'existe.
La mission de YoRoboCarbon
est de placer les plus hautes autorités, les organismes sectoriels et le peuple péruvien, face à face avec cette sale affaire, en publiant des informations nécessaires pour exposer tous les criminels impliqués dans le crime organisé, «producteurs» (voleurs et exploiteurs), les «porteurs» (trafiquants), le «marché» (fraudeurs fiscaux), les responsables industriels (blanchiment) et les autorités corrompues (le criminel au sommet). Nous avons la ferme intention d'utiliser l'arme la plus efficace pour attraper les criminels: les médias, les autorités, les organismes indépendants de lutte contre la corruption et la société civile.
Nous visons à être un vecteur qui aide à analyser tous ces crimes dans une perspective multisectorielle pour ne laisser aucun doute de l'impact et l'ampleur de tous les crimes commis en même temps. Exposer publiquement les fonctionnaires corrompus qui coopèrent avec l'illégalité et exiger publiquement que ces criminels soient chassés du pouvoir avec le soutien de ceux qui, par leurs impôts servent à payer leur salaire: le public.
Notre stratégie
A partir de maintenant, YoRoboCarbon démasque et expose publiquement, immédiatement et massivement à une longue liste d'organismes multi-sectorielle et le grand public, les exactions de cette organisation criminelle. Cette liste comprend évidemment les institutions chargées de la lutte contre la mafia, qui seront nécessaires pour s'attaquer à ce comité public de témoins qui cherchent à mettre un terme aux actes de dégradation au sein de leurs institutions. Ce même comité virtuel reçoit également les plaintes, demandes et dénonciations des citoyens.
Nous avons adopté cette stratégie afin que le levain de la criminalité et la corruption soient diffusés au public parce que cette mafia n'a aucune intention de s'arrêter.
ce lien explique comment on organise le pillage des ressources, comment on exploite et tue des centaines d'enfants, comment est organisée la corruption et comment yorobocarbon veut lutter contre ce fléau
résumé (KNTHMH)
L'action d'organisations criminelles est une des raisons qui conservent le Pérou dans le sous-développement malgré son indépendance depuis 1821.
Au cours de ces 188 longues années, d'innombrables criminels déguisés en «autorités», «entrepreneurs», «informel» ou ce qu'il vous plait de les nommer, ont été la cause de la souffrance de millions d'hommes, de femmes et d'enfants qui maintenant se trouvent aux extrêmes limites de la pauvreté.
Des centaines d'enfants sont exploités dans les mines de La Libertad et y laissent leur peau. Ils manipulent sans aucune précaution les explosifs. Ces crimes se passent en toute impunité. Les autorité ne font rien contre ce travail de mineurs. 85 % des personnes employées dans les minent souffrent de graves détériorations physiques dues à des agents polluants., à la silicose.
La production minière est incontrôlable, les véhicules qui la transportent ne sont en mesure de donner aucun document prouvant leur activité. De grandes quantité de minerais sont dérobées.
Des exploitations illégales ne craignent pas de s'exposer au grand jour avec leur production de dizaine de milliers de tonnes de minerais illégalement extrait. Les ports de Salaverry, Chimbote et Callao, sans objection par la Direction nationale des douanes, exportent illégalement du minerais vers d'autres pays.
On empêche la police d'agir contre les voleurs et les délinquants.
La corruption éhontée des hauts fonctionnaires (gouverneursd, procureurs) couvre ce marché illégal.
Les fraudes fiscales ne se comptent plus!
Ni les disparition de preuves en faisant brûler les papiers comprométants, les blanchiments de capitaux, car la grande industrie se sert sans vergogne auprès de ces producteurs miniers mafieux.
Les terrains sont pollués par les résidus miniers, l'agriculture n'est plus possible ou alors ses produits sont toxiques.
Aucun décret régissant l'exploitation minière n'existe.
La mission de YoRoboCarbon
est de placer les plus hautes autorités, les organismes sectoriels et le peuple péruvien, face à face avec cette sale affaire, en publiant des informations nécessaires pour exposer tous les criminels impliqués dans le crime organisé, «producteurs» (voleurs et exploiteurs), les «porteurs» (trafiquants), le «marché» (fraudeurs fiscaux), les responsables industriels (blanchiment) et les autorités corrompues (le criminel au sommet). Nous avons la ferme intention d'utiliser l'arme la plus efficace pour attraper les criminels: les médias, les autorités, les organismes indépendants de lutte contre la corruption et la société civile.
Nous visons à être un vecteur qui aide à analyser tous ces crimes dans une perspective multisectorielle pour ne laisser aucun doute de l'impact et l'ampleur de tous les crimes commis en même temps. Exposer publiquement les fonctionnaires corrompus qui coopèrent avec l'illégalité et exiger publiquement que ces criminels soient chassés du pouvoir avec le soutien de ceux qui, par leurs impôts servent à payer leur salaire: le public.
Notre stratégie
A partir de maintenant, YoRoboCarbon démasque et expose publiquement, immédiatement et massivement à une longue liste d'organismes multi-sectorielle et le grand public, les exactions de cette organisation criminelle. Cette liste comprend évidemment les institutions chargées de la lutte contre la mafia, qui seront nécessaires pour s'attaquer à ce comité public de témoins qui cherchent à mettre un terme aux actes de dégradation au sein de leurs institutions. Ce même comité virtuel reçoit également les plaintes, demandes et dénonciations des citoyens.
Nous avons adopté cette stratégie afin que le levain de la criminalité et la corruption soient diffusés au public parce que cette mafia n'a aucune intention de s'arrêter.
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Decretan estado de emergencia en ciertas provincias para evitar conflictos mineros
Jue, 01/04/2010 - 12:53
El Gobierno decretó el estado de emergencia por sesenta días en provincias de tres departamentos del país ante el paro nacional indefinido convocado para el 4 de abril por la Federación Nacional de Mineros Artesanales del Perú (Fenamarpe).
Según el decreto supremo publicado hoy en una edición extraordinaria del boletín de Normas Legales del Diario Oficial El Peruano, el estado de emergencia rige en las provincias de Nasca y Palpa, en Ica; Tambopata y Manu, en Madre de Dios; Caravelí y Camaná, en Arequipa.
De esta manera se busca "asegurar la prestación del servicio de transporte público y de mercancías, así como de resguardar las instalaciones pertenecientes a instituciones públicas y privadas".
El Ministerio del Interior mantendrá el orden interno con el apoyo de las Fuerzas Armadas.
Durante la declaratoria del estado de emergencia quedan suspendidos los derechos constitucionales relativos a la libertad y seguridad personales, la inviolabilidad de domicilio y la libertad de reunión y de tránsito.
La Fenamarpe y la Federación Minera de Madre de Dios (Fefemin) -que ha convocado a paro regional- piden que se derogue elDdecreto de Urgencia 012-2010, que dispone el reordenamiento de la minería artesanal.
El decreto supremo lleva la firma del presidente Alan García; el jefe del Gabinete Ministerial, Javier Velásquez Quesquén; los ministros de Defensa, Rafael Rey; de Justicia, Víctor García Toma; y del Interior, Octavio Salazar.